Une femme peut avoir un corps parfait sans ressembler pour autant aux mannequins des étalages ou à une poupée gonflable. C'est le cas de Shaylaren qui exhibe son corps aux formes naturelles sans artifices exthétiques, de la bouche jusqu'à son sexe naturellement bien rondelé, en passant par ses seins bombés de plaisir charnel.

Shaylaren, un corps de rêve à savourer par tous les sens de ses atouts sexuels

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Je ne sais pas si vous êtes de mon avis mais une partie de cul commence d'abord par une bonne fellation pour continuer par une baise intense de plaisir sexuel mais juste quelques coups de reins sans se donner à fond pour arriver au bout :-)  Tout ça, dans le but d'atteindre le paroxysme du plaisir : Une sodomie bien profonde et humide quand la bite devient très dure et que le petit trou du cul est dilaté par les premiers orgasmes de la femme.

Voila ma conception de l'acte sexuel. Je tiens donc à vous faire partager mon expérience sexuelle vécue :

Je me tape souvent la soeur de mon pote qui est vraiment une cochonne, alors je lui fait la totale hum..les jours de grande forme. Il faut dire que pour une femme de 34 ans, elle est vraiment très belle... et il semblerait qu'elle ait besoin d'attention, son mari est tout le temps en voyage d'affaires..

Donc je penetre dans le vif du sujet par une première photo :

En pleine action elle me rend complètement fou, elle pompe ma queue avec un enthousiasme débordant en serrant bien mon gland dans sa bouche tout en aspirant mon sexe, une vraie goulue !

Ensuite je l'allonge délicatement sur le bort du lit suivant un rituel habituel, Elle prend 3 doigts dans la chatte et des kilomètres de queue bien cadencés, je la baise comme il faut si bien que mes coups de reins provoque des claques contre son corps tout en malaxant ses seins sexy , les tétons pincés entre mes doigts. Je m'arrête juste à temps pour la finir en beauté, cette belle salope.

Pour terminer, je la sodomise amplement, je la porte avec aisance sur un sofa ou une table pour pouvoir bien pousser ma bite dans son cul. Je prends ma queue pour la placer doucement dans son orifice anal jusqu'au bout de mon gland rouge de frottements intenses. Le passage est libre, j'enfonce alors ma queue jusqu'au fond de son cul en accélérant mes mouvements de va et vient, que c'est bon putain..

Je ne peux m'empêcher d'éjaculer, le sperme déborde de son trou du cul et coule dans la raie de ses admirables fesses rondes.

Ca se passe comme ça au paradis du sexe !

Essayez moi Mesdames & Mesdemoiselles, malgré ces propos triviaux, tout se passe en douceur et sans douleur.

Je suis un père de famille vicelard qui mate les beaux petits culs des jeunes femmes, marié depuis longtemps à une femme avec qui j’ai eu des enfants je ne rate pas un occasion de la cocufier même si je l’aime énormément.  Depuis des mois je mate en douce la fille de 20 ans qui vie dans la maison d’a côté, c’est étudiante qui semble avoir une vie plutôt rangée. Pour tout vous dire, elle est très très craquante, excitante comme celles que j'ai pu me faire en me connectant sur les sites de rencontres sexy.

Ses tenues légères laissent deviner des formes rondes, fermes et épanouies, pas une silhouette de petite pute le cul à l’air , mais une silhouette de femme raffinée et amatrice de bonnes choses.  Le contre jour dans sa robe de coton laisse deviner des fesses superbes de petite salope,  à peine cachées par un string minimaliste. Le tissu se tend sur des seins en pommes que n’entrave aucun soutien-gorge. Cette belle de sexe hante mes fantasmes, et dans le court moment précédent l’endormissement, si c’est la peau de ma femme que je touche, c’est d’elle que je rêve, et mes rêves sont loin d’avoir l’innocence de l’enfance. En l’aidant a porter ses courses j’ai senti sur mon bras la pointe d’un sein libre sous le tee-shirt laissant apparaître le nombril. Lorsqu’elle s’est reculée, son regard a plongé dans le mien. Les mamelons dressés sous le tee-shirt laissaient peu d’équivoques. Je lui ai murmuré : On se voit plus tard…  Elle a baissé les yeux et j’ai cru voir sa joue rosir alors qu’elle tournait les talons.  J’ai ouvert la porte de la maison de ma coquine voisine, elle était là dans la pénombre. Je me suis avancé, nos regards se sont pris, nos bouches se sont approchées. D’abord légère, la caresse s’est prolongée, nos haleines se sont mélangées, sa langue s’est frayée un chemin entre mes lèvres. Son ventre s’est collé au mien. Je l’ai enlacée. Nos corps se sont soudés.

Mes mains sont parties explorer ses formes. La courbe de la hanche, un sein palpitant, nos langues vissées l’une à l’autre, la chute de ses reins, la peau frémissante sous la caresse. Ma main est passée sous la courte jupe, et j’ai caressé ses fesses fermes. Son souffle s’est accéléré. Nous avons desserré notre étreinte juste assez pour atteindre la table du salon. Toujours enlacés, je l’ai soulevée pour l’asseoir. Le petit string en dentelle est tombé à terre pendant qu’un sein parfait sortait de l’échancrure du tee-shirt. J’ai longuement embrassé le mamelon ambré, gorgé de désir.  Sa main a empoigné ma chevelure et m’a guidé vers là où je souhaitais aller. Son sexe ourlé d’une toison blonde presque translucide était ouvert, luisant d’humidité, offert sous la minijupe. Son clitoris dressé appelait mes lèvres. Longuement j’ai bu le plaisir à son sexe, d’abord à petits coups légers, puis au fur et à mesure que son excitation montait, ma langue est devenue plus pointue, plus curieuse, plus nerveuse accompagnant les gémissements qui sortaient de sa bouche toujours plus fort. N’y tenant plus, toujours en la léchant, de la base de l’anus jusqu’au clitoris, je me suis débarrassé de mon pantalon, et d’un coup de rein, j’ai planté dans sa chatte de blondasse mon sexe brulant de désirs. Nous avons joui ensemble et mon sperme c’est rependu dans sa chatte gourmande de petite vicieuse.

Nous nous sommes jetés sur le premier lit rencontré. Je ne saurais dire combien de temps cela dura. Soudain, autour de mon sexe qui reprenait vigueur, j’ai senti la plus douce des caresses. Ses lèvres fines avaient entouré mon gland et, tout doucement, elle se mit à me sucer, s’arrêtant parfois pour agacer du bout de sa langue les parties les plus sensibles. Au comble du plaisir, je la fis pivoter pour que son cul s’offre à moi. Longuement, je lui léchais les lèvres et m’attardais sur le cercle élastique de son anus. Au fur et à mesure de la caresse, pénétrant toujours plus avant le cercle interdit, je sentais au rythme de ses lèvres toujours oeuvrant autour de mon sexe, que, si cette caresse l’intimidait, elle y découvrait malgré tout une source d’excitation inconnue pour elle.  Son trou se faisant de plus en plus chaud et accueillant, je me résolu alors à y enfoncer l’index. Accompagnant un léger va et vient par une caresse appuyée du clitoris sans cesser les jeux de langue, je ne tardais pas à l’amener une nouvelle fois à la jouissance. Lâchant mon sexe, elle se mit à califourchon sur moi, renversée, les seins dressés fièrement, et par de petits mouvements du bassin, elle me fit pénétrer doucement au plus profond de son ventre. Toujours la caressant, je lui laissais prendre le rythme qui convenait au savant mélange de plaisir, de honte et de douleur que constitue une première sodomie. Lorsqu’en fin, elle atteignit ce mystérieux équilibre et se laissa aller toute à son plaisir, je pus alors me relâcher et inonder les profondeurs de son ventre d’un jet de sperme.